Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 16:02

Eric RAYNAUD journaliste,
 a publié un livre sur l'état de contestation de la version gouvernementale aux Etats-Unis. Si les autorités s'accrochent à leur version des événements, plus aucun expert ne se risque à la soutenir dans ses détails.
Les responsables de la commisision d'enquête gouvernementale confirment que la version officielle est quasiment entièrement fausse...
 on fait quoi maintenant ?
L'autruche comme d'habitude, les journalistes français n'en mangeront pas pour autant leur carte !

Le fait majeur selon EricREYNAUD a été la divulgation du rapport de la commission d'enquête mise en place par l'administration BUSH-CHENEY à l'été 2004. Les conclusions en étaient tellement inacceptables, intellectuellement, qu'elles ont excité la curiosité des penseurs, des scientifiques, des universitaires, des experts, etc..;
Leurs travaux très rigoureux amènent, huit ans après, à accepter que deux faits majeurs sont avérés.
Le premier est qu'aucun avion de ligne ne s'est écrasé sur le Pentagone ; le second est qu'en aucun cas, les effondrements de tours jumelles, les Twins Towers, n'ont été dus au impacts des Boeing 767 et aux incendies de kérosène. En fait, la version officielle expliquant les deux faits les plus marquants, les plus spectaculaires de ce 11 septembre 2001, est aujourd'hui disqualifiée.

Les familles des victimes, les pompiers new-yorkais,tous ceux qui avaient émis des doutes dès le premier jour, attendaient de pied ferme ce rapport. Devant ce tissu de contre-vérités, de déformation de la vérité, "d'oublis" très fâcheux, ils ont sortis les fourches. D'autant plus que la crédibilité de gens comme David Ray Griffing ou Richard Gage, et des témoins survivants directs, leur a permis de la faire.

Malheureusement pour l'administration BUSH, cette époque a correspondu peu ou prou avec l'avènement du web 2.0, qui aura été un outil imparable dans cette lutte. Tous, effectivement groupés en associations bien spécifiques et crédibles, échangeant leurs infos, leurs études, analyses etc.. La somme folle de ce travail n'a pu que retourner, effectivement, l'opinion publique, devant des faits devenus évidents.

Selon Eric REYNAUD le rapport de la commission d'enquête était voué au sort qu'il a connu, c'est-à-dire le rejet pur et simple de ceux qui attendaient l'administration BUSH au tournant. Les attentats ont été un tel faisceau d'événements tous uniques, les uns paraissant logiques, d'autres beaucoup moins, que la tâche s'averait impossible. Du reste, BUSH ne s'y était pas trompé, en refusant dans un premier temps la création d'une telle commission. Il a cédé seulement devant la pression populaire, mais en essayant de "border" au maximum :
pas de moyens, pas d'argent, peu de temps, et un homme du sérail pour directeur exécutif.

Cela n'empêche pas que deux journalistes très connus, qui travaillent pour les plus grandes chaînes, dont le correspondant de CNN au Pentagone,expliquent en direct dans les minutes qui suivent lle fameux crash ;
"aucun avion ne s'est écrasé ici",
il parait difficile à une commission d'enquête gouvernementale de les citer alors que le gouvernement affirme l'inverse haut et fort.
Le problème étant pour elle que si les paroles s'envolent, les images et les sons enrégistrés, eux, restent.
Et sont consultables..!
Le souci est le même pour la tour 7 : dans un pré-rapport, la Fédéral Emergency Management Agency stipule "qu'elle n'a pas d'explications surlles raisons de la chute de cet immeuble de 186 mètres de haut".
L'agence gouvernementale qui reprend la suite de l'enquête, le NIST, n'en a pas plus, et pour cause...
Donc, on "oublie" la chute d'un immeuble pratiquement de la taille de la Tour Montparnasse à la vitesse de la chute libre, 6,5 secondes, dans un rapport de 600 pages...
Finalement, en août 2008, le NIST trouve une explication abracadabrantesque qui ne satisfait personne.

C'est la quadrature du cercle, et d'ailleurs les président et vice-président de cette commission s'en sont désolidarisés dans un ouvrage à quatre mains,, plus tard.
De même que l'avocat conseil de cette même Commission, un ancien procureur fédéral, a écrit récemment un livre que le gouvernement l'avait fait mentir, pour dire les choses clairement.

Le Washington Post, un des vétérans les plus capés des journaux souligne que l'on est passé très vite au
"pathos sous contrôle gouvernemental", et le drame, c'était avant tout deux tours géantes qui s'étaient écroulées et 3000 morts.
Il a fallu longtemps pour que l'on admette que l'effondrement de la tour 7 était d'une importance capitale,,
 et même le talon d'Achile de la version BUSH.

Pourtant, il suffit, encore aujourd'hui, de poser la question à brûle pourpoint en société :
"Combien de tours sont tombées le 11 septembre ?"
Neuf fois sur dix on vous répondra "deux".

Il est à souligner qu'aucun des grands patrons ayant son bureau dans le WTC n'y était présent ce jour-là, un certain nombre de "conseils d'administrations" avaient été "décentralisés" dans le Nebraska..précisément à la base militaire d"Offutt où le président BUSH les a rejoint dans l'après-midi.C'est un élément éminemment important.

Quant au vol 93, l'avion perdu en Pensylvanie et ses nombreuses communications téléphoniques, le FBI lui-même sommé de produire les rapports sur ces conversations téléphoniques, a expliqué, qu'en 2001, il était techniquement impossible de téléphoner d'un portable vers la terre ferme, à l'altitude où se trouvait le vol 93.
Difficiledonc pour un "expert", après un aveu de cette taille, de venir en discuter..:

Que les tenants de la version officielle soient irrémédiablement coincés par ce genre de démonstration mais n'en démordent pas, rien d'étonnant.
En revanche, que les médias, qui ont des informations continuent ce jeu perdu d'avance est beaucoup plus étonnant.

On distingue trois hypothèses :
soit l'administration BUSH ignorait tout des attentats à l'avance,
soit elle était renseignée mais les a laissé perpétrer,
soit elle est impliquée dans leur réalisation.

David Ray Griffin souligne : "It's an inside job" sans sourciller, c'est-à-dire un coup monté de l'intérieur,
l'administration BUSH était au courant de ce qui allait se passer.
On voit mal des islamistes manier des tonnes de nanothermite et l'installer à leur gré dans les trois tours détruites.

Ce qui s'est passé le 11 septembre 2001 n'a pas été autre chose que la fabrication d'une justification d'opérations planifiées...en Afganistan, puis en Irak, et ce genre de choses ressort
d'un Tribunal pénal international.

Le 11 septembre 2001 est un événement US aux conséquences mondiales.  Les événements mondiaux issus du 11 septembre sont insupportables, et il est regrettable qu'en France, on ne sait parler de cet événement qu'à travers l'anathème, l'invective, l'insulte et l'imprécation.

Il est bon d'observer avec attention ce qui s'est passé et se passe, la mainmise sur le Moyen-Orient et les prochaines "cibles", du "plan"  par exemple la Russie et la Chine...?
Allons nous continuer à obeir à des gouvernements qui nous mentent ?
Nous devons la vérité à toute les victimes, les familles des victimes, et tous ces gens au Moyen-Orient qui ont vu leur vie détruite par la guerre contre le terrorisme qui s'en est suivi.

Partager cet article
Repost0

commentaires